Obtenir CentraleSupélec, c’était l’opportunité de ma vie.
Je viens d’Argentine, j’ai étudié pendant quatre ans et demi l’ingénierie industrielle à l’Université de Buenos Aires. Puis j’ai appris la possibilité de faire un double diplôme en France. J’avais ce souhait de faire un échange académique, et j’avais d’abord pensé à l’Espagne ou à l’Angleterre, pour une question de langues. Mais la France, c’était l’opportunité de ma vie ! Alors j’ai commencé à étudier le français et, en août de ma dernière année, j’ai pris des cours intensifs. J’ai postulé à quelques écoles, mais je savais que si j’étais admis à CentraleSupélec, le choix serait évident ! Le seul problème, c’était l’argent. Mes parents n’ont pas beaucoup de moyens, et moi aussi je travaillais comme prof en Argentine. Sans bourse de la Fondation CentraleSupélec, je n’aurais pas pu venir.
Ici, c’est comme dans les films…
Lorsque je suis arrivé sur le campus de CentraleSupélec, j’ai été très surpris. C’était incroyable ! En Argentine, il n’existe pas de campus aussi grands. Ici, c’est comme dans les films, comme dans High School Musical ! Ici, on habite sur le campus, ce qui est formidable pour connaître les autres étudiants, participer à la vie associative qui est très riche. Je suis très impliqué au Bureau des Etudiants Internationaux (BDI), et j’ai même dirigé un événement autour du cinéma international. Et puis je suis à 10 minutes de tous les cours…
« Je n’arrive toujours pas à croire que je suis ici. »
Aux donateurs de la Fondation, je dois ma vie et mon futur.
Je leur suis très reconnaissant, car sans eux, je ne serais pas ici. Je ne sais pas si j’aurais pu avoir une autre opportunité comme celle-ci, ni même connaître l’Europe. Aux possibles futurs donateurs, j’aimerais dire à quel point leur soutien sera une aide pour des étudiants comme moi. Ils peuvent vraiment aider beaucoup de personnes qui, sans eux, ne pourraient espérer avoir un diplôme international.